Vendredi 04-02-11 : MARTINIQUE (FORT de FRANCE - Le MARIN)

  

10H10 (loc), ballade et repérage dans la ville. Quelques achats. 

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13H00 (loc), repas au « Macdonald » du coin pour avoir une connexion WIFI et faire le point des courriers, comptes, mails, etc.

 

20H00 (loc), petit tour en ville. On s’arrête un moment pour écouter un groupe d’une cinquantaine de musiciens percussionnistes, tambours, grosses caisse, tambourins, etc.,  jouant une musique rythmée et entrainantes pour le seul plaisir des passants et des touristes.

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22H00 (loc), halte pour boire une bière locale, sur la place principale située le long des quais ou sont regroupés plusieurs camions et marchands ambulants. Les martiniquais terminent la semaine en venant se détendre ici avec les copains, dans une ambiance bruyante et aux sons de musiques créoles.

 

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Samedi 05-02-11 : Navigation (MARTINIQUE) FORT DE FRANCE – Le MARIN.

 

13H10 (loc), levée de l’ancre. On quitte le mouillage de FORT DE FRANCE pour aller plus au sud, dans la marina du MARIN.

Moteurs : bâbord = 1245 Heures et Tribord = 1200 heures.

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13H30 (loc), ORTUS est parti devant nous et on file plein sud avec un vent de travers de 15-20 nds. Nous sommes avec Grand voile et génois et notre vitesse est de 7 nds.

 

15H30 (loc), on descend assez loin pour garder du vent et tirer ensuite un bord pour remonter vers le rocher du diamant. On est maintenant au pré serré et pour aller au MARIN, on a le vent plein face. On croise deux autre catamaran qui effectuent les mêmes manœuvres mais en décaler par rapport à nous. On est tous en train de « régater ».

 

16H00 (loc), on passe entre la cote et le rocher du diamant et on revient très fort sur « ORTUS » qui compte tenu du temps nécessaire pour aller à la marina uniquement à la voile et avec des bords à tirer, a pris l’option du moteur et du cap direct.

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16H30 (loc), je vais chercher volontairement un grain en bord de cote car le vent est passé à 5nds et on n’avance plus et là je prends 30 nds d’un coup (je l’avais cherché).

Je prends immédiatement un ris sous un déluge de pluie et 5 mn plus tard, je me retrouve avec mes 5 nds de vent rétabli.

 

17H00 (loc), je laisse tomber, affale la grand voile, enroule le génois et tire tous droit sur le MARIN, car il faut qu’on arrive avant la nuit et de nombreux bateaux se dirigent vers cette marina dont les places semblent limitées. On assure le coup, il ne faut pas arriver dans les derniers. 

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18H00 (loc), la nuit est là. La capitainerie ne répond pas. Nous décidons après plusieurs tours entre les bateaux mouillés sur bouées ou sur ancre de passer la nuit au ponton de carburant. On sera réveillé tôt demain matin par le pompiste… On se fait néanmoins confirmer la place par le responsable du port que l’on croise à un coin de ponton.

 

19H30 (loc) douches puis repas dans un petit restaurant juste en face de la marina. Au menu viande grillé pour changer du poisson et glaces.

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